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Douglas Siler (23/9/2004)
Courriel adressé au Musée du Vieux Nîmes: Préparant une étude relative à
la fontaine de l'Esplanade de Nîmes pour mon site
Internet consacré à James Pradier, j'ai trouvé sur
le site du Musée du Vieux Nîmes une
photo de la salle dite Salle aux
palmettes où l'on voit une petite réduction
en plâtre ou en marbre d'une des cinq statues de la fontaine.
Pourriez-vous me
donner quelques informations sur cette réduction -
provenance, date d'acquisition, hauteur, matière, etc.?
J'aimerais également savoir si le musée en possède
d'autres exemplaires ou s'il possède des réductions
des autres statues de la fontaine de l'Esplanade.
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Chantal Cambon (Musée du Vieux Nîmes, 15/11/2004)
J'ai terminé la recherche sur les statues exécutées
par Pradier que nous possédons au Musée en réduction :
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cliquez pour agrandir
James Pradier,
La Source de Nîmes (Nemausa)
Coperland's Porcelaine Statuary,
H. 23 x P. 15,4 x L. 11,2 cm.
Musée du Vieux Nîmes,
Salle aux Palmettes,
n° inv. 924.23.1.
Acquise en Angleterre.
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cliquez pour agrandir
James Pradier,
La Source de Nîmes
(Nemausa).
Plâtre peint,
H. 30,5 x P. 18,7 x L. 14,7 cm.
Musée du Vieux Nîmes,
n° inv. 952.12.2.
Don Pocheville.
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James Pradier,
L'Eure (Ura).
Plâtre peint,
H. 30,9 x P 17,7 x L.14,8 cm.
Musée du Vieux Nîmes,
N° Inv. 952.12.3.
Don Pocheville.
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Douglas Siler (16/11/2004)
Je vous remercie pour les détails et les photos des
uvres de Pradier. Je les ai ajoutés à mon article sur
la fontaine de Nîmes et ils seront très utiles pour mes
futures recherches sur ce sculpteur.
Deux questions seulement concernant la statuette exposée
dans la Salle aux palmettes:
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A quelle date l'uvre en porcelaine a-t-elle été acquise par le musée?
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Que signifient les indications « Coperland's
Porcelaine Statuary - Acquise en Angleterre »? - Que
l'oeuvre a été acquise à un marchand ou à une fabrique de
porcelaine en Angleterre appelé « Coperland »?
Que ce nom est inscrit sur l'uvre? Les deux?
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Merci encore pour votre précieux concours.
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Chantal Cambon (22/11/2004)
En ce qui concerne la statuette de Nemausa
exposée dans la Salle aux Palmettes :
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La date d'acquisition : le 24 Janvier 1924 en Angleterre.
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En dessous de l'oeuvre est portée l'inscription suivante: « Coperland's Porcelaine Statuary ». Imprimée en surface (tampon de fabrique?).
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Et je cherche depuis, à savoir qui est « Coperland »:
une fabrique anglaise? J'ai cherché sur le net mais je ne
suis anglophone, je suis limitée par la langue, je n'ai rien
trouvé mais je continue dans mes recherches. Puis j'ai
contacté mon réseau : la conservatrice du Musée de Sèvres
qui ne m'a toujours pas à ce jour répondu.
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Douglas Siler (22/11/2004)
Merci encore pour ces nouvelles
précisions. Je les ai tout de suite incorporées
dans mon article. Moi aussi, j'ai essayé de trouver « Coperland » sur le net.
Je viens de découvrir cependant qu'il faut lire « Copeland », sans « r », et que c'est
une ancienne fabrique de porcelaine très connue. En
cherchant donc Copeland porcelaine dans
Google, on trouve entre autres choses ceci:
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[...] les techniques anglaises sont en effet des plus
variées. En outre, sous l'influence de Wedgwood, la
production s'industrialise de plus en plus dans le
Staffordshire, autour de Stoke-on-Trent où J.
Spode avait tant amélioré la technique de
la bone china, qu'on utilise encore de nos
jours. Vers 1846 [en fait, vers 1842],
W. T. Copeland
y inventa une pseudo-porcelaine imitant le marbre de
Paros. (http://www.ceramique1900.com)
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Mais en anglais « porcelaine » s'écrit
sans « e » final. Ainsi une recherche sur
Copeland porcelain dans Google donne quelque 36.000
résultats! On y apprend que la fabrique fondée vers
1760 par Josiah Spode a été reprise à la mort de son fils
ou de son petit-fils en 1829 par W.T. Copeland et qu'elle
continue encore aujourd'hui sous la raison sociale de
Spode à Stoke-on-Trent,
en Angleterre. Il y a même un musée et un site Web www.spode.co.uk On
trouve quantité de pages relatives
à l'histore de la fabrique et à la pseudo-porcelaine
appelée « statuary Parian » (étant une imitation du marbre de Paros), dont Copeland aurait publié
la recette en 1851 dans le catalogue de l'Exposition
Universelle de Londres. Il existe d'ailleurs de
nombreuses publications sur le sujet, par exemple celle-ci:
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Je lis sur une autre page que le « statuary Parian » est
devenu populaire en Angleterre à partir de 1845 lorsque
Copeland a reçu de l'Art Union of London la
commande d'un certain nombre de figures en parian d'après
les principaux sculpteurs de l'époque. En voici un exemple, Innocence,
de J.H. Foley, 1847:
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Ce serait intéressant de savoir si d'autres statues de la
fontaine ou d'autres uvres de
Pradier ont été éditées par cette même fabrique. Je
vais essayer de me renseigner. Si vous en avez l'occasion,
pourriez-vous vérifier que l'inscription sous la base
de la Nemausa exposée dans la Salle aux
Palmettes se lit « Copeland's Porcelain Statuary »
et non « Coperland's Porcelaine Statuary »?
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Douglas Siler (4/12/2004)
Courriel adressé au Spode Museum,
Stoke-on-Trent, Staffordshire, UK: While preparing a study
(Les enfants nomades de la Fontaine de
Nîmes) for my website on the sculptor James
Pradier, I recently learned that the Musée du Vieux
Nîmes owns a small porcelain statuette of one
of Pradier's works which bears, under its base, the
inscription "Copeland's Porcelain
Statuary." The work is a reduction of one of
the five marble figures he executed for the fountain in Nîmes
between 1845 and 1851. It was acquired by the museum in
1926. Please see the attached photo. I would like to know if the Spode museum has any other examples of
this work or of any other work by Pradier and if there is any
documentation, published or manuscript, relating to this or
any of his works reproduced in porcelain by the
Spode/Copeland factories. I would also be interested in
knowing if the inscription on this work appears with the same
wording on other Copeland porcelains and, if so, during how
many years it was used by the company.
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Pam Woolliscroft (Spode Museum Trust, 7/12/2004)
I have found the parian figure listed as Ondine,
and also known as Undine by Copelands.
The main information which follows is from research by my
predecessor, Robert Copeland (who, now retired, is
currently working on a book about the parian ware we made).
Robert has carried out the research into individual subjects
produced in parian ware. You may wish to comment on the
correctness of what follows from your own specialist
research.
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Robert Copeland's reference: S123
Date: 1847
Dimensions: 9 in.
Sculptor: after Pradier
Marks: printed COPELAND'S PORCELAIN
STATUARY
Ondine, or Undine, is the name given by Copelands to an allegorical figure, one of four, by
Pradier representing rivers found on the « Fontaine
Pradier » in Nimes, France. The statue represents a
famous local spring, water-course, known as the Fontaine
de Nimes. The original work is also known as
the River Allegory. The figure sitting above an
overturned water jar should be holding a mirror in her
right hand (which can be seen in the
attached image from an
1851 catalogue (note - whereabouts of the catalogue
currently unknown). The retail price in 1848 was £1 10s
0d, while is 1851 it had been reduced to 20s. The
Statuary Price Book, (thought to date from the late
1840s) wherein Ondine is the first entry under
« O », the trade price is 21s and the retail
30s... A coloured and gilded version was priced at 42s on
27 September 1861 while a « gilt and tinted »
one was 21s. The net price list of 1873 includes this
figure at 16s 6d whilst that of 1880 quotes 10s 6d.
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There are further details about various prices but I feel
I need to go back to the source material to make sense of
them and they are probably not relevant to your query. The
figure is also illustrated in a book on Victorian Parian
Ware by Shinn. I do not have a full reference or copy here, I
am sorry. You will find other figures « after
Pradier » in the Parian
Phenomenon - details on the attached booklist - and
not just by Copeland. However I know of no details about
Pradier in the archive. It would seem that Copeland's made
arrangements with individual sculptors to use their work or
to pay for a model from which a mould could be made for the
company to then produce the pieces in parian but there seems
to be no systematic format for the arrangements. There is
another reference in Robert's notes (his ref
S141) of Rivers of France. The Statuary Price Book
lists this as a centrepiece Statuary and china at a
price of 9 guineas and dated 7th October 1870. Sadly
there is no further information. It probably took the form of
an elaborate china basket supported by parian figures
representing the Rivers. The mark in this form you
describe is an early mark for parian ware (before that
name was adopted throughout the industry) and is
thought to date from about 1847-8. Statuary Porcelain
is the name this company used when it introduced the ceramic
body in the 1840s. There is an essay on parian ware in Robert
Copeland's book Spode and Copeland Marks and Other
Relevant Intelligence as detailed in the attached booklist. The archive
is very large here and not fully catalogued so if I come
across any other reference to Pradier I will let you know.
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Douglas Siler (8/12/2004)
Thank you very, very much for your detailed
response to my query. It will be extremely useful for my
research on Pradier. It is particularly fascinating
to know that the Copeland Undine
figure was available as early as 1848 and that all four of
the Nîmes figures may have been reproduced in porcelain as
part of a centrepiece. If you do find more information,
please let me know. The original Latin names are
all engraved on the Nîmes fountain itself. The Undine
figure is Nemausa (La fontaine de
Nîmes). Its bronze reductions were named Mélancolie,
or Mélancolie des eaux. The other seated
female figure is Ura (La fontaine d'Eure).
Its bronze reductions were called Harmonie, or Harmonie
des eaux (which translates as "Harmony of the
Waters"). The two seated male
figures symbolising the Rhône and Gardon rivers are
named Rhodos and Vardo. These four seated
figures surround a standing female figure symbolising
the city of Nîmes (La Ville de Nîmes). For further details,
please see the article on my website.
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Pam Woolliscroft (9/12/2004)
I am glad the information was
helpful. I will have a look at the website to see if any of
the other figures look like any of our Copeland figures. I
would love to find an image of our Rivers
centrepiece I mentioned as the style of the centrepieces we
made is reminiscent of the fountain - for example
we have one with four seated female figures representing the
continents and they sit around a central column with an
elaborate basket at the top. These decorated grand tables and
were quite remarkable pieces of work using a combination of
parian ware and bone china often with hand painted and gilded
work on the china.
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Chantal Cambon (Musée du Vieux Nîmes, 15/12/2004)
Je vous envoie la photo du dessous de la statuette Source de Nîmes, n° inv. 924.23.1, avec la marque de fabrique
"Copeland".
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Douglas Siler (15/12/2004)
Je suis ravi d'avoir la photo du dessous de la statuette,
merci infiniment! Comme vous l'aurez remarqué dans la
réponse que j'ai reçue du Musée Spode/Copeland en
Angleterre, la fabrique Copeland aurait utilisé cette marque
très tôt, vers 1847-1848. Pradier semble donc avoir
commercialisé des réductions des statues bien avant
l'inauguration de la fontaine en 1851, probablement à l'insu
de l'architecte et des autorités nîmoises. La fabrique
Copeland aurait même réuni les quatre statues assises dans
un surtout de table appelé "Rivers of France".
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Daniel Thebault (3/3/2007)
Nous pensons détenir une pendule surmontée d'un bronze signé J PRADIER.
Pouvez-vous nous aider à identifier cette œuvre?
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Douglas Siler (12/3/2007)
Votre bronze dérive d’une des quatre statues assises de la Fontaine de l’Esplanade à Nîmes, celle qui représente La Fontaine de Nîmes, appelée aussi Nemausa. Vous pouvez lire ici même mon étude sur les réductions et variantes de ces statues: Les enfants nomades de la fontaine de Nîmes. Depuis la mise en ligne de ce texte, d’autres exemplaires du bronze qui orne votre pendule sont apparus sur le marché de l’art. Vous en trouverez plusieurs photos ici dans les annonces des ventes aux enchères et hors enchères. Avez-vous l’intention de vendre cette pendule?
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Daniel Thebault (13/3/2007)
Je vous remercie pour vos précieuses informations concernant cette pendule avec son bronze.
Je serai éventuellement vendeur, mais je ne connais pas le marché de l'art car néophyte.
Pouvez-vous me dire approximativement ce que représente cette pendule en terme de prix?
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Douglas Siler (17/3/2007)
Les prix pour ce genre d’objets peuvent se situer entre 500 et 1.500 euros, sinon plus. Il y a deux ans, une pendule quasiment identique à la vôtre, surmontée de la même statuette de Pradier, a été proposée à la « vente immédiate » sur ebay par un antiquaire américain pour environ 1.100 euros. Une autre pendule identique mais surmontée d’une autre statuette de Pradier (Sapho assise) est actuellement proposée à la vente aux enchères sur ebay jusqu’au 22 mars pour environ 638 euros (prix de départ). Encore une autre, également avec la Sapho mais accompagnée d’une paire de candélabres, était estimée 1.200-1.500 euros à l’hôtel des ventes de Metz le 1er oct. 2006. J’ignore si elle a été vendue. Vous trouverez ici des annonces pour toutes ces œuvres ainsi que pour d’autres exemplaires de Nemausa, sans pendule, à des prix variés. Comme convenu, j'y annoncerai également le vôtre.
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Maya (9/6/2009)
Je suis sur le point d'acheter cette statuette en bronze qui me plaît tellement.
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Ne trouvant pas son histoire sur internet, je suis « tombée » par hasard sur votre site. Pouvez vous me dire un peu plus sur son histoire (si possible)? Qui est cette magnifique femme qui à la fois chante l'amour (je suppose avec la harpe) et en même temps nous fait penser à la guerre (avec canon)?
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Douglas Siler (9/6/2009)
Cette jolie statuette s’inspire d’une des statues en marbre qui décorent la fontaine de l’Esplanade de Nîmes, dite « fontaine Pradier ». En l'occurence il s'agit de la statue représentant La fontaine de l'Eure, ou, de son nom latin, Ura. Elle n’a rien à voir avec la guerre, étant assise non sur un canon mais sur une urne par laquelle l’eau se déverse dans le bassin de la fontaine. Vous trouverez d’amples informations à son sujet sur ce site dans mon étude intitulée Les enfants nomades de la fontaine de Nîmes. Vous y trouverez également, dans les annonces des ventes, d’autres exemplaires qui sont apparus ces dernières années sur le marché de l'art.
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Eric Simon (28/9/2013)
Serait-il possible d'avoir quelques informations sur une statuette Nemausa habillée en bronze, signée « Pradier », et tampon « SUSSE FRES »? Estimation gratuite possible ?
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Douglas Siler (29/9/2013)
Pourriez-vous m’envoyer des photos de cette statuette, y compris un agrandissement de la signature et du tampon? Ce serait utile aussi si vous pouviez préciser ses dimensions et sa provenance.
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Eric Simon (1/10/2013)
Voici les photos demandées:
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Pour ce qui est de la provenance, je n'ai pas vraiment d'informations. Je sais simplement qu'elle appartenait à la grand-mère du compagnon de ma sœur, ce qui laisse supposer qu'elle n'est pas toute jeune et qu'elle a été produite avant 1990, période où beaucoup de copies « made in china » ont commencé a fleurir d'après ce que j'ai pu lire sur votre forum.
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Patrick Quenot (Fréjus, 19/1/2017)
Il se trouve que je possède de la succession de ma mère une garniture de cheminée signée « J. Pradier ».
J'approche de 60 ans et j'ai toujours connu cet ensemble, horloge et chandeliers, qui appartenait au grand-père maternel. Voici des clichés de moyenne qualité:
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Cette représentation de la jeune femme à la lyre mesure 41 cms de large, 17 cms de profondeur, 61 cms de hauteur, pour 16 kgs. Chacun des deux chandeliers fait 16 cms de large, 13 cms de profondeur, 41 cms de hauteur, pour 5 kgs.
En surfant sur le net j'ai retrouvé ce même personnage sur un catalogue de vente mais en version sculpture bronze posée sur un socle de marbre. Il etait noté lot 246, vente du 13.09.2016, chez Millon Drouot à Paris.
Vous aurez bien compris que ces pièces me posent questions sur leur datations et véracité d’œuvre. Pourriez vous m'informer ou me diriger dans ma possession du Graal !!!!
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Douglas Siler (19/1/2017 )
Comme vous l'aurez constaté en lisant les échanges précédents, votre statuette est une réduction « habillée » d'Ura, l'une des cinq statues de Pradier qui décorent la fontaine de l'Esplanade de Nîmes. Les réductions de cette statue sont plus rares que celles de la statue de Nemausa sur cette même fontaine. Par ailleurs, la vôtre est exceptionnellement grande si la hauteur que vous indiquez n'inclut pas la hauteur de la pendule. On remarque aussi ce qui est aussi assez exceptionnel, je crois qu'elle est intégrée au caisson de la pendule et non simplement posée dessus et que la décoration florale qui recouvre une partie de sa plinthe semble « déborder » sur le caisson. Pour d'autres exemplaires et d'autres renseignements, voir les annonces de ventes en cliquant sur l'onglet Ventes dans la barre d'outils ci-dessus ainsi que les textes signalés ci-après sous A lire aussi. A noter que la décoration de votre pendule et ses deux chandeliers ne sont pas de Pradier.
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Patrick Quenot (Fréjus, 19/1/2017)
La hauteur que j'ai indiquée inclut l'horloge. La sculpture d'Ura rejoint donc les dimensions connues. En revanche, celle-ci est bien partie intégrante de l'horloge en socle de bronze également. Effectivement, le débordement des enluminures aux pieds de la représentation épouse la surface supérieure de l'horloge. A noter aussi qu'un double « MM » gravé sur le pied d'un Chérubin pourrait peut-être correspondre aux initiales du fondeur.
Votre expertise estimerait l'ensemble à quelle valeur....?
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Douglas Siler (19/1/2017 )
Pour la valeur de cet ensemble, je ne peux mieux faire que de vous renvoyer au forum A propos du prix de certaines œuvres de Pradier ainsi qu'aux annonces des ventes que vous pouvez lire en cliquant sur l'onglet Ventes ci-dessus. Là vous trouverez d'autres garnitures de cheminée du même type et le prix auquel elles ont été estimées ou vendues. Comme vous le verrez, ces prix varient énormément, allant de quelques centaines d'euros à deux ou trois mille. Le fait que votre réduction d'Ura fait partie intégrante de l'horloge et que les réductions de cette œuvre sont relativement rares (le catalogue raisonné de Pradier établi par Claude Lapaire n'en dénombre que quatre, dont une seule montée sur une horloge) augmente sans doute l'intérêt de votre ensemble. Quant aux initiales « MM » gravées sur le pied d'un Chérubin (celui-ci n'étant pas de Pradier), j'ignore de quel fondeur ou ciseleur il pourrait s'agir.
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A lire aussi :
→ Étude:
Les enfants nomades de la fontaine de Nîmes
→ Forum:
Un buste en bronze de Nemausa (fontaine de Nîmes) à Honolulu
→ Forum:
Pradier à Amsterdam
→ Forum:
A propos du prix de certaines œuvres de Pradier
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